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‎HISTOIRE DU CABINET DES TUILERIES, DEPUIS LE 20 MARS 1815, ET DE LA CONSPIRATION QUI A RAMENE BUONAPARTE EN FRANCE.‎

‎A PARIS. CHEZ CHANSON, IMPRIMEUR-LIBRAIRE. DELAUNAY, LIBRAIRE. ET LES MARCHANDS DE NOUVEAUTES. 1815. IN-8 (13,5 X 20,5 X 2,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE VIII + 94 PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU BLOND, DOS LISSE ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE, TRANCHES MARBREES, EX-LIBRIS DORE EN PIED: «OEUVRE DES BONS LIVRES TOULOUSE». (AVEC TIMBRE HUMIDE IDENTIQUE SUR LE FEUILLET DE TITRE). QUELQUES ANNOTATIONS MANUSCRITES D’EPOQUE EN MARGE DE CERTAINES PAGES. RELIE AVEC:- DURDENT RENE-JEAN (1776-1819). CENT DIX JOURS DU REGNE DE LOUIS XVIII, OU TABLEAU HISTORIQUE DES EVENEMENTS POLITIQUES ET MILITAIRES DEPUIS LE 20 MARS JUSQU’AU 8 JUILLET 1815, JOUR DE LA RENTREE DU ROI DANS SA CAPITALE, OUVRAGE COMPOSE D’APRES LES RENSEIGNEMENTS LES PLUS AUTHENTIQUES. PARIS. ALEXIS EYMERY, LIBRAIRE. 1815. 96 PAGES.- CHAZET (RENE DE. 1774-1844). LOUIS XVIII A SON LIT DE MORT, OU RECIT EXACT ET AUTHENTIQUE DE CE QUI S’EST PASSE AU CHATEAU DES TUILERIES, LES 13, 14, 15 ET 16 SEPTEMBRE 1824. PARIS. PONTHIEU, LIBRAIRE. 1824. 79 PAGES.ENSEMBLE DE 3 OUVRAGES RELATIFS AU ROI LOUIS XVIII, RELIES EN UN VOLUME. PETITS DEFAUTS EXTERIEURS, SINON BON EXEMPLAIRE. ‎

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‎Histoire du cabinet des Tuileries, depuis le 20 mars 1815, et de la conspiration qui a ramené Buonaparte en France.‎

‎ In-8, broché, couverture papier fort bleu (rel. moderne), viij, 94 p. (qq rouss.). Paris, Chanson, Delaunay, et les Marchands de Nouveautés, 1815. ‎

‎Edition à la date de l'originale de cette historique des Cent-Jours, violemment anti-bonapartiste, pris depuis leur préparation jusquà la défaite de Napoléon."Louvrage que nous donnons aujourd'hui peut être considéré comme la collection méthodique de tout ce qui a été imprimé à Gand, Bruxelles et Vienne, sur la conspiration tramée à Paris, et comme le résultat des différents rapports qui ont été fait à Sa Majesté en avril dernier" (p. v).Journaliste, secrétaire intime d'un préfet de province à la fin du 1er Empire, lauteur "a été l'homme de tous les gouvernements de la Monarchie Constitutionnelle de 1815 à 1848". Bon exemplaire. ‎

‎Histoire du cabinet des Tuileries depuis le 20 mars 1815, et de la conspiration qui a ramené Buonaparte en France. Troisième édition, corrigée et augmentée‎

‎Paris, Chanson, Delaunay, marchands de nouveautés, 1815 in-8, XII-92 pp., cartonnage Bradel de papier azur Bon exemplaire. (reliure de l'époque).‎

‎Lingay (1791-1851) était le rédacteur du périodique royaliste clandestin Le Nain vert ; il donne là un pamphlet violemment anti-bonapartiste, mais plein d'anecdotes peu connues.L'auteur est un personnage méconnu, mais des plus curieux : fils de cabaretiers, éphémère professeur au lycée Charlemagne à la fin de l’Empire, il devint secrétaire d’un préfet et député ultra de la Première Restauration. Témoin des circonstances du retournement du maréchal Ney à l’amorce des Cent-Jours, il semble avoir monnayé sa discrétion sur ce sujet sensible pour mieux se glisser dans l’ombre du pouvoir au début de la Seconde Restauration. Homme lige du duc Decazes au Ministère de la police générale puis au secrétariat de la présidence du conseil, il fut chargé de piloter le dossier sensible des Conventionnels régicides exilés. Évoluant vers le modérantisme en même temps que son patron, il tomba avec ce dernier en 1821, avant d'opérer un rebondissement spectaculaire sous la Monarchie de Juillet.Davois II, 179. Cf. Barak (Michel) : Joseph Lingay. Un personnage balzacien sous la monarchie constitutionnelle. Paris, 2008. ‎

‎Histoire du cabinet des Tuileries depuis le 20 mars 1815, et de la conspiration qui a ramené Buonaparte en France‎

‎Paris, Chanson, Delaunay, et les marchands de nouveautés, 1815 in-8, viij pp., 94 pp., déchirure avec manque au dernier feuillet, dérelié. ‎

‎Lingay (1791-1851) était le rédacteur du périodique royaliste clandestin Le Nain vert ; il donne là un pamphlet violemment anti-bonapartiste, mais plein d'anecdotes peu connues.L'auteur est un personnage méconnu, mais des plus curieux : fils de cabaretiers, éphémère professeur au lycée Charlemagne à la fin de l’Empire, il devint secrétaire d’un préfet et député ultra de la Première Restauration. Témoin des circonstances du retournement du maréchal Ney à l’amorce des Cent-Jours, il semble avoir monnayé sa discrétion sur ce sujet sensible pour mieux se glisser dans l’ombre du pouvoir au début de la Seconde Restauration. Homme lige du duc Decazes au Ministère de la police générale puis au secrétariat de la présidence du conseil, il fut chargé de piloter le dossier sensible des Conventionnels régicides exilés. Évoluant vers le modérantisme en même temps que son patron, il tomba avec ce dernier en 1821, avant d'opérer un rebondissement spectaculaire sous la Monarchie de Juillet.Davois II, 179. Cf. Barak (Michel) : Joseph Lingay. Un personnage balzacien sous la monarchie constitutionnelle. Paris, 2008. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Histoire du cabinet des Tuileries depuis le 20 mars 1815, et de la conspiration qui a ramené Buonaparte en France. Seconde édition‎

‎À Paris, chez Chanson, Delaunay et les Marchands de Nouveautés, 1815 in-8, VIII-94 pp., demi-toile grenue bleu nuit, dos lisse Qqs rousseurs, parfois plus manifestes. Petites usures aux coins. (reliure postérieure).‎

‎Lingay (1791-1851) était le rédacteur du périodique royaliste clandestin Le Nain vert ; il donne là un pamphlet violemment anti-bonapartiste, mais plein d'anecdotes peu connues.L'auteur est un personnage méconnu, mais des plus curieux : fils de cabaretiers, éphémère professeur au lycée Charlemagne à la fin de l’Empire, il devint secrétaire d’un préfet et député ultra de la Première Restauration. Témoin des circonstances du retournement du maréchal Ney à l’amorce des Cent-Jours, il semble avoir monnayé sa discrétion sur ce sujet sensible pour mieux se glisser dans l’ombre du pouvoir au début de la Seconde Restauration. Homme lige du duc Decazes au Ministère de la police générale puis au secrétariat de la présidence du conseil, il fut chargé de piloter le dossier sensible des Conventionnels régicides exilés. Évoluant vers le modérantisme en même temps que son patron, il tomba avec ce dernier en 1821, avant d'opérer un rebondissement spectaculaire sous la Monarchie de Juillet.Davois II, 179. Cf. Barak (Michel) : Joseph Lingay. Un personnage balzacien sous la monarchie constitutionnelle. Paris, 2008. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎