IMANN Georges - (Georges Gigandet dit) - (Marseille 1889 - Auteuil 1977) - Ecrivain français
Reference : GF20453
2 cartes et 1 enveloppe - (1923 et 1972) - bon état -
Amusante réunion d'une carte de "Georges Imann" de 1923 et d'une carte de "Georges Gigandet" de 1972 qui ne sont qu'une seule et même personne - 1923: "Puis-je espèrer que nos rapports prendrons une forme moins exclusivement postale"....Il présentera lui-même son livre "L'Enjoué" au 'Faubourg' dans un débats - 1972: Voeux de bonne année - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
BAZIN (René), écrivain français, membre de l’Académie française (1853-1932).
Reference : HCJA22
20 Mai. L’académicien adresse ses remerciements à l’écrivain Adolphe Aderer concernant un article. « si cordial, et qui demeurera, cher monsieur, de vous à moi, comme un lien… ». 7 Février. « Grand merci. Je ne suis pas journaliste et je ne continue ce travail de guerre qu’à coup des sympathies de tous côtés exprimés, et dont je suis très reconnaissants ».
Belle correspondance amicale et professionnelle. Il voyage à travers la France et se réjouit de lui donner de ses nouvelles à chacun de ses déplacements. De Breuilpont dans l’Eure, il se console du mauvais temps en prenant du repos et sera de retour à Paris vers le 25 et le questionne. « Il parait que vous avez fait un voyage charmant avec Gromaire ». Arrivé dans le Golf du Morbihan où il se trouve depuis quelques semaines « dans un petit village près de St Gildas », il lui avoue que « le pays est très beau et si le temps voulait s’arranger, ce serait charmant. Je me repose en travaillant un peu… » A Bannay, dans le Cher, il se trouve chez Mlle Clémence Fouchard : « j’ai échoué dans un petit village aux environs de Cosne. La Loire avec ses plages de sable fin, ses sites et sa pêche est proche ; c’est vous dire que je me distrais en dehors de mon travail. Entouré de braves gens, je travaille de mon mieux. Qu’en sortira-t-il ? Je resterai ici encore quelques semaines pour me reposer en même temps… ». A Massais, dans les Deux-Sèvres, il lui apprend que « Gromaire a été opéré de l’appendicite… ».
On joint une coupure de presse du 3 novembre 1932 annonçant la mort du peintre « Le peintre Tadé Makowski est mort sans connaître la gloire qu’il méritait et pourtant l’apport de ce maitre dans l’art contemporain est considérable ».